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Marie-France, bourgeoise du 7e arrondissement de Paris, décide d’héberger un migrant. C'est ainsi que Mohammad débarque dans son hôtel privé, chic et artistique. Chic choc, choc des cultures, choc des personnalités aussi sans doute. Quelques mois plus tard, Mohammad a le moral en-dessous de zéro. Mais il reste accroché à son projet : réussir à sciences po.

Cette histoire vraie est racontée par son fils, cinéaste aux États-Unis, témoin direct de la politique de Donald Trump.

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Maîtresse, pourquoi t'es noire ?

- Je vais répondre à ta question par une autre question, Tovi : pourquoi est-tu blanc ?

- Parce que je suis français !

S'ensuit un débat animé par les enfants, et enrichi par les informations historiques de la maîtresse.

Centre Presse : Le jour où

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Véra Baboun est maire de Bethléem depuis 2012. Elle est la première femme à être élue à la tête d'une ville en Palestine. Elle raconte le contexte politique, culturel et religieux de la ville, ce qui l'a conduit à se présenter aux élections, les obstacles qu'elle rencontre aujourd'hui, les projets qu'elle porte.

«Pour l’amour de Bethléem» de Vera Baboun - RFI

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🙂

Mississipi, 1908. Le vieux Lebey achète une automobile dans l'intention d'en faire un tracteur. Il confie cette mission à Rhod, son régisseur, et accepte que Jake, son petit-fils enthousiaste, suive les opérations. Mais son employé aime trop la voiture pour la transmormer. Il a une autre idée en tête : partir avec pour New bay, et retrouver la belle Miss Kay, chanteuse au cabaret "French Follie's"...

Il emmène Jake avec lui, et lui apprend à conduire "Tin Lizzie". Louis, le valet roublard du colonel Lebey, s'est invité à bord. Les deux comparses participeront à leur manière au pari lancé par Miss Kay : si Rhod veut conquérir son cœur, il devra vaincre à la course son deuxième prétendant, Lord knox, cavalier de l'imbattable Blackstorm.

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"Je sentais bien qu'il y avait des différences, des degrés dans la qualité, que Stephen King et Émile Zola ne jouaient pas dans la même cour, mais qu'on pouvait s'amuser dans les deux. J'avais bien compris, dès le collège, grâce à madame Beaulieu, qu'il y avait des textes chiants à lire mais passionnants à étudier, et des romans passionnants sur lesquels il n'y avait finalement pas grand-chose à dire. Et que les deux étaient légitimes, le loisir et l'étude, le divertissement et l'analyse, qu'il ne fallait pas vouloir choisir son camp. Que la littérature n'était pas un champ de bataille, mais une montagne, avec des degrés d'altitude et des sentiers de randonnée plus ou moins ardus, les uns les autres menant à un point de vue. C'était cela qui comptait. Arriver quelque part... et contempler."

p. 22. In Passionnément, à la folie de CONSTANT, Gwladys. Rouergue, 2017. ISBN 9782812614903