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Ben a une petite sœur difficile à porter. Elle ne parle pas. Mais surtout , le jour de sa naissance, sa mère a purement et simplement disparu. Pourquoi ?

Six ans plus tard, jour de l'anniversaire de la petite Maïna, celle-ci est guidée par d'étranges lucioles. Elles la mène vers une peau de phoque, lumineuse, soigneusement cachée dans un coffre fermé à clé. Elle s'en vêtit. Elle est retrouvée par son père sur la plage, trempée et épuisée. Ben comprend alors : sa sœur et sa mère sont des selkies, des femmes-phoques, capables de parler avec les êtres magiques.

Elle risque alors d'être la cible de la sorcière Macha.

C'est le moment que choisit la grand-mère pour décider qu'un phare n'est pas un endroit pour élever des enfants et les emmène tous les deux loin de la mer, loin du manteau, loin des lieux de légendes que racontaient Bruna à son fils...

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Affiche du film "Deux moi"

Deux parisiens, l'un habite au 2, l'une habite au 4, se croisent, dans leur vie comme dans une danse, quand vont-ils se rencontrer ?

Cédric Klapisch croque avec désinvolture les deux portraits de Mélanie et Rémy, et on prend plaisir à le suivre. On rencontre aussi l'épicier passionné de ses produits, les psychologues aux paroles rémanentes, les parents inquiets, le chat indépendant mais qui a besoin d'attention, et les montagnes ! Un film qui fait du bien.

KLAPISCH, Cédric. Deux moi. 2019. 1h50mn.

Depuis la mort de son père, Blue ne sort plus de sa maison. Jusqu'au jour où un avion de papier atterrit juste devant sa porte.
Blue au pays des songes : extrait

Depuis la mort de son père, Blue ne sort plus de sa maison. Jusqu'au jour où un avion de papier atterrit juste devant sa porte. De nombreux avions de papier ! La jeune fille découvre un colis : une mini-baleine dans un bocal. C'est alors que la forêt envahit tout. Les racines envahissent sa maison, et tentent de la saisir. C'est le signe du départ. Blue doit fuir la forêt, et partir vers un ailleurs...

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Kimberly traverse l’adolescence. Son passe-temps : mentir. Mentir pour tester, pour philosopher, pour relativiser.

Kimberly traverse l’adolescence, avec les changements de son corps, avec le regard des autres, avec un mal-être diffus dont elle cherche l’origine. Son passe-temps : mentir. Mentir pour tester, pour philosopher, pour relativiser. Et si c’était sa mère qui mentait le plus ?

Catherine croque des scènes de la vie ordinaire de façon extraordinaire : le père routier suédois, le petit frère fan des pingouins, les mensonges qui s’efforcent de paraître un peu plus vraisemblables que tout ça. Il ne se passe pas grand-chose, mais il s’en passe tellement ! Kimberly découvre l’origine de sa manie, analyse, réagit. C’est une belle invitation à un regard sur sa propre existence parmi les autres.

À partir de 14 ans.

GRIVE, Catherine. La fille qui mentait pour de vrai. Éd. du Rouergue, 2018. 140 p.

Marie-France, bourgeoise du 7e arrondissement de Paris, décide d’héberger un migrant. C'est ainsi que Mohammad débarque dans son hôtel privé, chic et artistique. Chic choc, choc des cultures, choc des personnalités aussi sans doute. Quelques mois plus tard, Mohammad a le moral en-dessous de zéro. Mais il reste accroché à son projet : réussir à sciences po.

Cette histoire vraie est racontée par son fils, cinéaste aux États-Unis, témoin direct de la politique de Donald Trump.

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