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1492. Ana et Domingo sont des petits bras qui chargent les bateaux du port. Mais ils restent coincés sur le bateau de Christophe Colomb ! Les deux passagers clandestins sont rapidement découverts…

Bibliothécaire perdue entre les pages. Pourvu que le chemin soit long !
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1492. Ana et Domingo sont des petits bras qui chargent les bateaux du port. Mais ils restent coincés sur le bateau de Christophe Colomb ! Les deux passagers clandestins sont rapidement découverts…
Héricourt, 10 000 habitants, abrite une formidable ludothèque : 2 300 jeux, dont 100 jeux géants en bois, empruntables sans limite de quantité pendant 3 mois. Les jeux classés par âge, et sont mis à disposition dans la médiathèque, dans les rayons voisins des livres. Dans le même bâtiment, un fablab où se côtoient plusieurs machines de sérigraphie. Comme vous pouvez l'imaginer, les gens viennent de loin pour pouvoir bénéficier de ces services. Encore merci aux bibliothécaires pour leur chaleureux accueil !
Vadim, joueur d'échecs émérite, passe un championnat dans des circonstances particulières : il est emprisonné en Russie, et ne gagnera la liberté de ses compagnons que s'il gagne les parties. Mais alors qu'il se prépare à la dernière manche, il aperçoit, posé sur la table de sa chambre d'hôtel, le jeu d'échecs avec lequel il a appris à jouer dans sa tendre enfance, reconnaissable entre tous : les pièces des fous sont remplacées par des ours. Qui l'a déposé ici ? Commence alors un voyage, jusqu'aux sommets du monde...
Rencontre rapide avec Victor Poirine, peintre-illustrateur (et musicien), à Saint-Nicolas-de-Port. Allez jeter un œil à son site ou son compte instagram, ça vaut le détour. Artiste polyvalent, il est capable de peindre des sujets les plus sombres (des loups déchirant leur proie) aux plus lumineux (une vierge Marie), d'utiliser plusieurs techniques (dessin d'architecture, huile, gouache, aquarelle...). Perso, j'adore la poupée russe qui fait sa journée des morts mexicaine. Longue route à toi, Victor !
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Dans le monde sans fin, le polytechnicien Jancovici fait part de ses conclusions à Blain, illustrateur, sur notre consommation d’énergie. Et tous les deux y vont de leurs images. Par exemple, Jancovici nous compare à Iron man : lorsque nous consommons un yaourt, nous utilisons du froid, des transports (non seulement pour aller au supermarché, mais surtout le transport du lait et de l’usine de yaourts au supermarché.), des matières premières qui ont servi à fabriquer le pot de yaourt, etc., etc. Il convertit cette quantité de travail : pour un satisfaire un Français actuellement, il faudrait de 600 esclaves ! Alors, les énergies renouvelables, dans ce cas, bonne ou mauvaise idée ? Et surtout, comment améliorer nos dépenses d’énergie ?