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La fille qui mentait pour de vrai

Kimberly traverse l’adolescence. Son passe-temps : mentir. Mentir pour tester, pour philosopher, pour relativiser.

Kimberly traverse l’adolescence, avec les changements de son corps, avec le regard des autres, avec un mal-être diffus dont elle cherche l’origine. Son passe-temps : mentir. Mentir pour tester, pour philosopher, pour relativiser. Et si c’était sa mère qui mentait le plus ?

Catherine croque des scènes de la vie ordinaire de façon extraordinaire : le père routier suédois, le petit frère fan des pingouins, les mensonges qui s’efforcent de paraître un peu plus vraisemblables que tout ça. Il ne se passe pas grand-chose, mais il s’en passe tellement ! Kimberly découvre l’origine de sa manie, analyse, réagit. C’est une belle invitation à un regard sur sa propre existence parmi les autres.

À partir de 14 ans.

GRIVE, Catherine. La fille qui mentait pour de vrai. Éd. du Rouergue, 2018. 140 p.

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