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Une petite fille des rues est recueillie par un vieil homme reclus. Celui-ci n'ayant pu empêcher la mort de sa femme, il s'efforce d'animer des personnages en porcelaine. Lorsque Gamine perce son secret, . Elle est amenée à apprendre les runes qui donnent vie. Que fera-t-elle de ce don ? Le bien ou le mal ?

Une petite fille des rues est recueillie par un vieil homme reclus. Celui-ci n'ayant pu empêcher la mort de sa femme, il s'efforce d'animer des personnages en porcelaine. Lorsque Gamine perce son secret, . Elle est amenée à apprendre les runes qui donnent vie. Que fera-t-elle de ce don ? Le bien ou le mal ?

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😀

Quelque part, dans un château abandonné des hommes, les animaux sont restés. Chèvres, ânes, chiens, tous se sont organisés en une république. Le taureau Silvio a été élu président, et les chiens veillent au bon fonctionnement du château : cultures, entretien des bâtiments, récolte et répartition des ressources.

Dans cette république idéale devenue tyrannie implacable, Miss B. tente de gagner la pitance de ses deux chatons en remplaçant son mari mort sur le chantier. Jusqu'à ce qu'Azélar, un vieux rat saltimbanque, vienne suggérer aux habitants comment changer le cours des choses...

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Extrait : une des fameuses "blagues" de l'homme-chien.

Scott, explorateur spatial, est chargé d'enquêter sur des accidents répétitifs sur les stations de recherches et de mise au point d'une nouvelle race humaine capable de s'adapter à la vie sur Titan.

Chaque fois, il trouve des plate-formes pulvérisées, avec les mêmes indices. Et, chaque fois qu'il rapporte ses informations et en demande les suites, il se fait aimablement congédier : l'entreprise Tianzhu gère la situation, il n'y a pas lieu de s'inquiéter, gardez ces informations confidentielles, merci. Chaque fois, donc, Scott retourne à l'unique station de vie humaine.

Mais, entre deux spots de publicité de Tianzhu et le reportage des éminents scientifiques, une voix résistante commence à s'élever...

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😀

Une BD épaisse que vous aurez bien du mal à caser dans vos rayonnages... Prenez-la, elle en vaut carrément la peine !

Betty, reniant l'éducation de sa mère, s'en est allée vivre à Paris, et prétend très bien s'en tirer seule avec sa fille et son cher train-train quotidien. Boulot stressant, crises d'angoisse, aphonie, si si, tout va très bien. Jusqu'au soir où un jeune homme à bec de corbeau vient réclamer son dû... Personne réelle ? Complot familial ? Pour démêler le vrai du faux, Betty et sa fille se lancent dans un road-trip initiatique rythmé de croyances hébraïques ancestrales...

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Deux histoires, deux destins.

Rafa, "fils de rue". Est hébergé en maison de passe. Est devenu pro à la rage de ses poings. Mais ses proches doutent de lui : la boxe est-il pour lui un moyen de frimer ou une véritable passion ?

Hector, "fils de riche". A toujours tout reçu tout cuit. Son père l'a toujours poussé dans l'athlétisme. Mais alors que tout lui sourit, lui veut faire de la boxe.

Deux histoires, un même combat. Sur le ring, un seul gagnant. Mais dans la vie, tous gagnent à pratiquer.

On peut hésiter à l'achat de cette BD épaisse (206 p.), et au dessin agressif. Effectivement, elle cible un lectorat qui n'est pas réputé pour son attirance pour les livres : les amateurs de boxe. Mais elle a tout pour réussir le pari.

Les deux histoires sont à la fois épiques et dramatiques, à la Million Dollar Baby. Tout en sentiments, d'autant plus forts qu'ils sont intériorisés. Être droit dans ses baskets, connaître et respecter l'adversaire. Voici les leçons à qu'apprennent les deux héros, à travers les épreuves du regard des autres et du plaire aux sponsors. Et, pour pousser retranscrire ces idées, les propos et le graphisme sont poussés à l'extrême de l'expressif, quitte à baigner dans la caricature.

Une BD sans concession. Public jeunes adultes.

CAROT, Manolo. DEL RINCON, Ruben. El boxeador. Trad. de l'espagnol. Éditions du long bec, 2018. 1 vol. 103 + 103 p. ISBN 9791092499711